Arrangeur cultivé, écartelé entre la première moitié du XXème siècle, le début des sixties et les écrivains victoriens, Neil Hannon dévoile chaque jour un peu plus de remarquables talents d’auteur.
Après Liberation, Victory For The Comic Muse ou le mélancolique Absent Friends, The Divine Comedy vole sur les ailes de Foreverland, onzième album et leçon de vivre heureux, un conte de fées porté par un tube anachronique et délicieux. Chansons d’amour, morsures ironiques, jeux de lettres raffinés et savants, arrangements somptueux, The Divine Comedy est enfin de retour à La Coopérative de Mai, après cette magnifique soirée d’octobre 2006…
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